Presse

S'il faut résumer la pièce en un mot, ce serait « décapant » !
Une pièce très engagée politiquement. Trop rare dans le contexte contemporain pour ne pas sauter sur l'occasion !

Over Blog - Thalasrum - 14/07/12

Hôtel Palestine a pour vertu première de pointer la violence du discours d'une démocratie mal en point et se reçoit comme une performance lucide, révélatrice de la société du spectacle. Avec cette pièce, Jean-Claude Fall est porteur d'un activisme théâtral assez salutaire, comme outil d'analyse de l'ère contemporaine, qui fait la part belle au texte ce qui est déjà un engagement politique en soi.

La Provence - Gwenola Gabellec - 11/07/12

Tous réalisent une prestation magistrale.

Froggy’s Delight - M. M. - 12/11

La mise en scène de Jean-Claude Fall permet de donner une densité esthétique au texte.

Les trois coups - Fatima Miloudi - 25/11/11

En donnant à ses acteurs une belle liberté dans la profération des idées et la représentation des militants de tout poil, Jean-Claude fall retrouve le dynamisme d’un théâtre politique perdu. C’est vigoureux et crève l’écran des langues de bois.

Critique/théâtre - Gilles Costaz - 11/11

Une déferlante qui met le spectateur à genou, mais qui pour Falk Richter et Jean-Claude fall, ranime aussi sa conscience citoyenne.

La Terrasse - Véronique Hotte - 12/12/11

[…] Fall a conçu une soirée directe, engagée, où les mots de la classe conservatrice explosent par eux mêmes, comme des fusées se désintégrant en plein vol. Le jeu intense des acteurs (Marc Baylet-Delperier, Patty Hannock, Vincent Leenardt…) et les projections de documents à l’arrière-plan s’accordent en une diabolique et passionnante confrontation des contraires.

L’avant-scène théâtre - G.C. - 11/11

Il n’est pas ici question de prendre le spectateur en otage dans un discours idéologique, mais simplement de faire ce que le théâtre sait si bien faire : donner à réfléchir sur les limites des mots et des discours. Réveiller les consciences en plongeant le spectateur au cœur d’une expérience, mais toujours sous le signe de la distance.

Le Monde - Judith Sibony - 07/12

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